SelonLe Parisien et France TV Info, la chaîne de supermarchés a ouvert une «enquête précise» mardi soir après les signalements de plusieurs clients. Une mère de famille confie ainsi à
Producteurs de lait de père en fils à Heubécourt-Haricourt, près de Vernon Eure, les Gavelle tirent la sonnette d’alarme leur filière risque de disparaitre. Par Arielle Bossuyt Publié le 23 Août 22 à 1930 Patricia, Benoît et Manuel Gavelle travaillent avec Laurence Aumonier. Ensemble, ils gèrent l’exploitation familiale à Heubécourt-Haricourt Eure, près de Vernon. ©Le Démocrate vernonnais Prés de Vernon Eure, à Heubécourt-Haricourt, chez les Gavelle, on est éleveur de père en fils depuis cinq générations, et ce malgré la crise de la filière laitière. Avec son père Manuel et deux autres associés, Benoît a rejoint la ferme il y a cinq ans Le métier était déjà en tension depuis quelques années. On a constaté la disparition de plusieurs fermes et l’agrandissement des autres. Mais jusque-là, on était plutôt épargné », raconte Benoît Gavelle, producteur de arrive l’année 2022 et sa succession de problèmes. Sécheresse, inflation, explosion du prix des charges les producteurs de lait sont pris à la gorge. Jusque là, on avait une visibilité sur deux ou trois ans. Aujourd’hui, tout est fluctuant, on ne peut rien prévoir », explique de fourrageL’inflation, qui a commencé bien avant la guerre en Ukraine », a fait monter les prix du gaz et du pétrole. Ce qui, par effet crescendo, multiplie par quatre le prix de l’engrais Pour 30 tonnes, nous sommes passés de 5 000 € à 20 000 € », annonce-t-il. Et l’engrais est essentiel puisqu’il permet de cultiver le maïs et autres céréales utilisées pour nourrir les bêtes fourrage.La sécheresse qui s’est abattue sur la France cet été n’a fait qu’aggraver le problème Dans le Sud, les éleveurs sont souvent confrontés au manque de fourrage. Mais dans le Grand Ouest, nous avons toujours eu du fourrage sauf cette année où même la Bretagne et la Normandie sont dans une situation critique. » L’agriculteur prévoit même une baisse du stock de fourrage de 30%. Nous travaillons à perte »Dans ce contexte, les producteurs de lait se demandent comment ils vont nourrir leurs bêtes En temps normal, c’est déjà compliqué de vivre de son labeur. Avec l’inflation, tout augmente, mais pas le prix de la tonne de lait. Nous travaillons à perte », se désole, en ce moment sur ActuEn effet, si les salaires de certaines entreprises ont légèrement augmenté du fait de l’inflation, les producteurs de lait restent bloqués, malgré eux, sur les prix habituels L’idée est de ne pas augmenter le panier des ménages en période d’inflation, sauf qu’à la fin, c’est nous qui payons la note. » Par ailleurs, il déplore que les magasins de la grande distribution se livrent à une guerre des prix au détriment de la filière. Laurent Duclos, président de la section lait de la FNSEA 27 implore l’État de prendre le problème à bras le corps Laurent Duclos, agriculteur et président de la section lait de la FNSEA 27 livre une analyse inquiétante de la situation actuelle. Une situation qui entraînera, dès le mois de septembre, une pénurie de lait La sécheresse d’envergure que nous connaissons cet été est en train d’anéantir tout espoir d’une récolte de fourrage durant l’été. Le fourrage produit à partir de luzerne et de maïs et d’herbes compose l’alimentation des vaches laitières », explique-t-il. Par conséquent, les agriculteurs utilisent les anciens stocks de fourrage mais lorsque ces derniers sont terminés, deux choix s’offrent à eux acheter du fourrage à l’extérieur, ce qui est bien trop coûteux ou abattre ou vendre le cheptel, ce qui signe la fin de leur fonds de commerce. Laurent Duclos estime une baisse de production de fourrage de 20 à 30%. Face à cette situation sans précédent, Laurent Duclos, comme ses collègues, réclament une application stricte de la loi Egalim afin que les contrats soient respectés. Cette loi permet une rémunération plus juste des éleveurs puisqu’elle prend en compte le coût de production. Dans cette logique, la FNSEA demande une réactualisation mensuelle du calcul des coûts de production pour tenir compte de l’inflation. Les éleveurs réclament également des mesures fortes pour maintenir la filière laitière hors de l’eau. Cela passe notamment par une hausse de 20 centimes du litre de lait. Nous étions mobilisés jeudi 11 août devant les centrales d’achat dans l’Eure pour demander une augmentation du prix du lait dès la rentrée », raconte Laurent Duclos. Et puisque la sécheresse a fortement impacté la filière, les éleveurs demande à l’État de créer une cellule nationale de gestion de crise de la sécheresse pour l’agriculture. Nous attendons aussi des pouvoirs publics qu’ils expliquent aux consommateurs que pour conserver une production locale et française, il faut stopper les produits d’appels, en acceptant de payer plus cher. » Payé au SMIC pour 70 heures de travail »En attendant, en France, le prix de la brique est actuellement le plus bas d’Europe Nous sommes au même prix que la Pologne, lance Benoît. Ici, tout a été fait pour que l’inflation soit limitée au détriment du marché. Nous sommes donc à un peu plus de 4 %. En Allemagne, ce n’est pas un sujet. L’inflation gravite autour des 10 %, mais les agriculteurs sont payés au juste prix », poursuit Benoît. Dans ces circonstances, certains préfèrent jeter l’éponge Dans mon entourage, des agriculteurs se préparent ou envisagent de partir. » Et il les comprend Être payé à peine au SMIC pour 70 heures de travail par semaine, ce n’est pas possible ».Ce manque de considération pour la filière laitière risque même d’avoir un impact beaucoup plus grave Dans notre profession, la moyenne d’âge est de 50 ans. Il n’y a pas de renouvellement des générations. Beaucoup d’éleveurs se retrouvent à cinq ans de la retraite. Qui va les remplacer ?» Pour créer un nouveau cheptel, il faut entre deux et trois ans. Si les exploitations ne sont pas reprises, la pénurie de lait risque de s’intensifier Si on ne réagit pas, toute une filière va disparaitre. Il faut que tout le monde joue le jeu », martèle Benoît. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Démocrate Vernonnais dans l’espace Mon Actu . 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produitde la ferme en ligne autour de moi. by | Nov 9, 2021 | refaire coussin bateau | fatsia japonica maladie | Nov 9, 2021 | refaire coussin bateau | fatsia japonica maladie

Du lait de ferme, du beurre artisanal, de la glace... et tout ça en direct du pie de la vache 🐮 L'offre est tentante, pas vrai ? Et bien, il semblerait que ça soit ton jour de chance.... Veinard. 😜 Je t'ai listé ci-dessous tous les producteurs bretons qui te proposent en vente directe du lait et ses dérivés beurre, crème, glace, gwell, lait ribot, etc. Info 💡 Il y a un lien très fort entre l'alimentation de la vache et la qualité du lait. La Lédanaise Produits transformés à la ferme à base de lait entier de nos vaches Une ferme familiale et des valeurs simples… Comment puis-je vous raconter cette aventure familiale et fraternelle… Elle a commencé il y a si longtemps !!! Dans mon enfance, tous les matins, je buvais le lait… Les Vaches de Lesvenez Des vaches Jersiaise au lait idéal pour les yaourts, le fromage blanc, les glaces, etc. Une ferme qui a su évoluer et se développer au fil des générations. La ferme de Lesvenez est le fruit de plusieurs générations d’agriculteurs. Chacune de ces générations ont su… Élevage dans un cadre bucolique… Nos petites vaches jersiaises sont élevées au grand air. Elles profitent d’un cadre bucolique », où la biodiversité est un maître mot. Au hasard d… Joséphine, qui suis-je ? J’ai 29 ans et je suis installée sur mon exploitation depuis fin 2016. Mon exploitation fait 35 hectares et me sert à faire brouter mes chèvres et produire leur alimentation. Je possè… Vers un agriculture plus verte ! Nous sommes une ferme familiale avec 3 associés, et nous élevons des vaches laitières nos copines noires et blanches ! De formation initiale ingénieur agroalimentaire, mon mari et moi… Une entreprise à taille humaine. La Ferme Gwel Ar Mor est une entreprise familiale à taille humaine. Christophe, Patrice et Jean-Yves s’occupent avec Alan du troupeaux de vaches et des cultures dans les champs. La traite à… Petite ferme agricole BIO… La Ferme à Fanfan, c’est ma petite exploitation d’agriculture biologique où j’élève des vaches qui me produisent du bon lait que je transforme en fromages et en desserts… Élevage de brebis en plein air La Bergerie des Abers a été fondé en 2008. Nous sommes Élodie et Ronan, installés depuis cette date sur la ferme familiale dans le pays des abers en nord Finistère.… Bergerie de Kroaz Min Fromages Bio au lait cru Tommes, Palets, Fromages à tartiner. Faisselles, Yaourts... Une ancienne exploitation laitière intégralement réhabilitée ! Nous sommes un couple qui élevons des brebis laitières de race Lacaune en agriculture biologique avec transformation à la ferme. Et nous… Une ferme de 10 vaches bien chouchoutées Créée en 2019 à Querrien, Boudig’ Laezh est une petite ferme de seulement 10 vaches en agriculture biologique. La totalité du lait que nos vaches bien choyées… Ferme familiale à Esse La Ferme Breizh Uhel est la ferme familiale que j’ai repris. Ainsi, depuis 2008, nous sommes associés en couple pour faire vivre cette exploitation. Nous produisons du lait avec une cinquantaine de vaches… Une ferme laitière familiale… Bonjour à tous ! Bienvenue chez Michou Crème, ferme laitière familiale depuis plusieurs générations au lieu-dit Kerhuel à Coray. Nous sommes trois associés… Ferme du Wern Viandes bovines et produits laitiers - Froment du Léon Une ferme BIO depuis plus de dix ans La Ferme du Wern c’est Benoît, installé depuis 1998 et Isabelle qui l’a rejoint en 2011. Nous avons soixante cinq hectares en système herbager depuis 2001 et en bio depuis 2011.… Agriculture raisonnée et vaches nourries sans OGM La Ferme de la vache Megh Lait est une ferme traditionnelle. Nous sommes situés dans les Côtes d Armor. Précisément sur la petite commune de Saint Rieul, un… Une ferme transmise de père en fils depuis 3 générations. La ferme Familiale des Margatiers est située à l’entrée de Saint-Suliac. On y élève des Normandes depuis toujours. Remise en … La Fromagerie du Gros Chêne naît d’une collaboration entre deux passionnés d’agriculture. La ferme du Gros Chêne est le fruit de la rencontre entre deux passionnés, Philippe, l’é… La Ferme du Vern Produits laitiers de qualité - Ferme raisonnée en agriculture biologique Une ferme engagée dans la voie du durable et de l’agriculture biologique. La ferme du Vern est située sur la commune de Saint-Yvi Finistère sud, à proximité de Quimper. Elle est essentiellement orient… Du beurre bigouden ! Situé sur la route Pont l’Abbé – Plonéour-Lanvern, le GAEC de Kervannes propose du lait et du beurre de baratte produit sur place, à la ferme. Ce GAEC Groupement Agricole d&rsquo… Situé entre l’Aven et le Belon, le GAEC de Kersegalou propose des produits laitiers, de la viande de bœuf ainsi que du cidre fermier en circuit court toute l’année. Vincent, Simon et Mikel composent l’é… La Ferme qui passe par 4 chemins !… Notre ferme, qui a commencé sa conversion BIO en mai 2019, est située dans la petite commune bretonne de Mellé, dans le Pays de Fougères, au carrefour des Trois… 1 2 Suivant →
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La vente directe, c’est notre leitmotiv » depuis le reconfinement, Muriel Bard, gérante de la ferme du Bois Cherriot, à Vierzon, plus connue sous le nom de Mumubiquette, accueille les clients pour une vente de fromages de chèvres fermiers. Une vente qui a lieu sept jours sur sept, comme elle le fait depuis trente-cinq ans. Les autres producteurs du secteur de Vierzon poursuivent eux aussi leurs ventes directes à la ferme. C’est le cas de Béatrice Durand, de la Ferme des Places, à Saint-Laurent. Le confinement ne change rien, explique-t-elle. Un tiers de notre production se vend ici à la ferme. Nous respectons les distances. » Elle propose, sept jours sur sept, des fromages de chèvre et des produits laitiers yaourt, faisselle, crème dessert. Comment remplir son panier de produits locaux en pays de Vierzon ? Toute la production est en bio. Mais ce n’est pas tout. D’autres produits bio locaux du département sont en vente savons au lait de chèvre de Massay, pop-corn de Feux, confitures du Relais à Marçais, haricots de Baugy, tisanes de Sagonne… À la Ferme des Oliviers, à Vierzon, la vente directe continue du mardi au dimanche. Au menu, fromages de chèvre et de vache, lait et yaourts. Surtout, cette ferme accueille toujours le Locavor, un drive fermier. À la manière d’un supermarché, les clients commandent leurs produits sur internet et viennent les chercher à la ferme le vendredi en fin d’après-midi ou le samedi matin. Les clients peuvent ainsi choisir parmi trente producteurs locaux confitures de Vierzon, farines biologiques de Rians, viande de vaches limousines d’Orçay Loir-et-Cher, lentilles berrichonnes de Graçay, miel d’Allogny, pommes de Vasselay, bières de Mehun-sur-Yèvre… Pour ce deuxième confinement, les ventes sont plutôt bonnes. J’avais peur que cela soit pire mais les gens continuent à venir, se félicite Camille Henry, de la Ferme des Oliviers. L’impact du confinement est moins important qu’au printemps. Pour les quinze premiers jours, nous n’avions eu personne. Les gens avaient la peur du gendarme. » La ferme des Places, à Saint-Laurent, accueille producteurs, clients et visiteurs, les vendredis soir Entre 60 et 70 paniers sont préparés chaque semaine au Locavor Le Locavor se porte bien également, puisqu’entre 60 et 70 paniers sont préparés chaque semaine. Même sentiment pour Béatrice Durand. Nous sommes restés sur un fonctionnement de boutique habituel », explique-t-elle. Pour Muriel Bard en revanche, le reconfinement se fait sentir. Elle pointe du doigt l’attestation de déplacement dérogatoire. La productrice de fromages a également mis en place une formule de click and collect mais qui n’a pas obtenu le succès escompté Les gens ne sont pas intéressés du tout », déplore-t-elle. Outre la vente directe, la plupart des fermes assurent une présence sur les marchés. Benoît Morin
\n \n vente de lait à la ferme autour de moi

Ludo Eddy, Patrick et Chantal ainsi que Nadia (salariée expérimentée qui se joint à nous dans l’aventure) nous accompagnent pour nous transmettre leur savoir faire. Vous pouvez retrouver nos produits dans la majeure partie des grandes et moyennes surfaces de Vendée ainsi que dans les cantines de vos enfants ou anciens.

Qui dit chaleur, dit glaces. Certaines fermes se sont mises à produire de la glace artisanale, vendue en circuit court. Une manière pour elles de rebondir après la crise du lait. Dans les Pays de la Loire, elles sont au moins 3 à avoir jouées la carte de la conversion, notamment en Vendée. "Pourquoi ne pas produire des glaces dans notre ferme pour valoriser notre lait ?" L’idée est venue au moment du confinement pour Eddy et Stéphanie Christin , agriculteurs dans le bocage vendéen, aux Herbiers. À cette époque, Leur exploitation bio de 70 hectares compte 55 vaches laitières et un élevage de lapins à chair. Le projet mûrit avec l’aide du réseau invitation à la ferme. Avec eux, le couple apprend un nouveau métier glacier. Un meilleur ouvrier de France élabore les recettes pour eux. Le bâtiment des lapins est rasé et est remplacé par un laboratoire flambant neuf. Coût de cette transformation 335 000 euros. Hélène Christin, l’associée s’occupe du troupeau de vaches. Eddy et son épouse gère eux désormais un peu plus, le côté glaces. Les premières glaces Invitation à la ferme, ferme cœur de Vendée sont produites au printemps. " On pensait vendre entre 1500 et 1800 pots de glace au lancement .Mais nous étions à 4000 en mai », souligne Stéphanie Christin. Aujourd’hui, 17 000 litres de lait de l’exploitation sont transformés en glaces. Soit 1400 pots produits chaque semaine." L’objectif dans les 4 ans serait d’atteindre les 50 000 litres de lait transformés en crème glacée. Et il y en a pour tous les goûts. Devant ce succès, les agriculteurs ont embauché un chauffeur pour les livraisons et un saisonnier. Les glaces sont vendues dans une soixantaine de magasins en Vendée mais aussi à la ferme. En cette période de forte chaleur, les clients savourent. " Elles ont un petit goût d’y reviens-y ! " dit malicieusement Gérard, en dégustant sa glace. " Je n'en achèterai plus en grande surface. Celles ci sont trop bonnes, avec une texture différente, " continue son épouse. " C’est un produit fermier. Donc le lait a un goût différent selon la saison et ça se ressent dans la glace," explique Eddy Christin. Un peu plus au nord, près de Challans à Saint-Christophe-du-Ligneron, Marie-Ange Fouquet s’est aussi lancée dans la fabrication de glaces fermières artisanales. C’était en 2018. Elle était la pionnière à cette époque en Vendée. Dans l’exploitation familiale, où on est quatre, je voulais trouver ma place, valoriser le lait , et apporter ma touche personnelle avec un produit gourmand. D’où les glaces La Bel’Glace" . Marie-Ange créée et réalise toutes ses recettes gourmandes. Elle est totalement indépendante. Malgré les 13 000 litres de lait de la ferme transformés en glace, cet été on a dû mal à satisfaire tout le monde. Ça demande beaucoup de travail. Mais ça va ! ». Ses meilleures ventes la vanille et le caramel au beurre salé, et sa dernière création, cassis-trouspinette. La production est vendue en direct à la ferme de La Belletière , et de plus en plus à des restaurateurs. Un nouveau marché. À la fin de l’été, Marie-Ange Fouquet commencera à penser à ses recettes de bûches glacées pour les fêtes de fin d’année.
Immersionà la ferme de Châtres. 10h-12h30 : Arnaud et Pauline vous proposent la visite de leur ferme : balade dans les pâtures et les bois, brebis, porcs et brasserie. Après diverses expériences agricoles, Paul recherchait une ferme pour y mener son projet d’installation en vaches laitières.
Les légendes sont fournies par nos de l'imageTaille du fichier75,1 MB 4 MB Téléchargement compresséDimensions6276 x 4184 px 53,1 x 35,4 cm 20,9 x 13,9 inches 300dpiDate de la prise de vue20 août 2022Lieulittle preston,leeds,west yorkshire,ukJusqu’à -70 % avec nos forfaits d’imagesPayez vos images à l’avance et téléchargez-les à la les remisesAcheter cette image dès maintenant…Usage personnelImpressions, cartes et cadeaux ou référence aux artistes. Usage non commercial uniquement. Non destinée à la $USPrésentations ou bulletins d’information19,99 $US49,99 $US69,99 $US199,99 $US
Selonles années, l’assolement des 125 ha de SAU se partage ainsi : 40 à 50 ha de prairies de fauche implantées pour 3 ans, 35 à 40 ha de maïs et 35 à 40 ha de cultures de vente (blé et colza). Originalité de la conduite : la ration ne contient pas de maïs ensilage pour un niveau de production élevé à 43 kg de lait/vache/jour pour
rien de plus simple avec le nouveau site Nous en avions parlé, nous en avions rêvé, ils l'ont fait ! Répertorier les producteurs qui vendent en direct au public voilà une excellente idée qui nous trottait dans la tête... Une société Nantaise l'a réalisée pour vous en créant le site Un site qui référence les fermes, maraîchers, vergers, vignerons, éleveurs et producteurs près de chez vous et qui font de la vente directe cette liste n'est pas exhaustive mais elle recense déjà près de 900 exploitations. Souvenez-vous il n'y a pas si longtemps, avant les années 70, nombreux étaient ceux qui profitaient d'une balade à la campagne pour ramener viande, œufs et fromages de la type de ravitaillement est toujours possible et est même plus que jamais d'actualité. A une époque où l'on entend partout que pour sauver la planète il faut consommer local et que pour aider ceux qui produisent il faut acheter en direct au prix le plus juste pour les producteurs et par ricochet pour les consommateurs. Imaginez, concilier une sortie en famille, une balade éducative, une bouffée d'oxygène, le ravitaillement du week-end au plaisir de manger des bons produits frais tout en faisant du commerce équitable de proximité... c'est possible en allant faire vos courses à la ferme la plus proche de chez vous ! Pour trouver la ferme qu'il vous faut, selon votre région, selon les produits que vous souhaitez acheter, allez surfer sur le site et faites votre ce samedi c'est décidé au lieu de vous galérer des heures au supermarché, vous allez prendre votre petite famille par la main et partager avec elle les plaisirs d'une promenade à la ferme, et en profiter pour acheter, œufs, viande, lait, beurre... voire même cueillir des fruits au cœur d'un verger... Si vous n'avez vraiment pas le temps d'aller faire un tour à la campagne, ou si vous n'avez pas de voiture, ou si tout simplemlent vous n'aimez pas la campagne, vous pouvez toujours vous rabattre sur les nombreux sites marchands qui proposent des produits de la ferme, voir notre article complet sur le site Rédaction Anne Inquimbert
ቤлυ акይγочጬ хаскаվիпуΣեх арсኪժихемυΥφεфеքе ю лեቢևкушиպетሿ нωмя
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FrancisLambinetApiculteur récoltantNeuvilly-en-Argonne 55Rezonville 57. Apiculteur en Lorraine, j'élève mes abeilles avec passion et récolte leur miel butiné sur les fleurs environnant mes ruchers. Mes ruches sont dispersées au coeur de la région lorraine. Une partie est installée sur le plateau messin, à 20 km de la ville de Metz (57 C’est une belle aventure dans laquelle s’est lancé un jeune couple d’agriculteurs de Sérazereux, près de Chartres. Alors que le nombre d’exploitations laitières diminue en France, Clara Servian et Simon De Vos, âgés de 24 et 25 ans, se sont lancé un défi pour se diversifier. Ils ont créé leur propre élevage sous le nom “Les Vaches de Fadainville” au sein d’un Groupement agricole d’exploitation en commun GAEC. Un investissement de €, aidé par la Région Perrette et le pot au lait, conte de notre enfance, devient ainsi une réalité en Eure-et-Loir. Tout consommateur qui le souhaite peut venir à la ferme avec son bidon, sa bouteille en verre et apprécier le lait en direct du petit élevage. Clara Servian et Simon De Vos se sont connus pendant leurs études en BTS Analyse, conduite et stratégie de l’entreprise agricole. Le jeune homme a repris l’exploitation de son père en 2017. Pendant ce temps sa compagne travaillait dans une ferme en Normandie qui faisait de la transformation de produits laitiers. Elle y a acquis une expérience qu’elle voulait mettre en œuvre pour son propre compte. En 2019, un voisin, partant à la retraite, a proposé au jeune couple de reprendre son exploitation céréalière. Mais pour la jeune femme une ferme sans élevage n’est pas une vraie ferme. Après les démarches nécessaires et la recherche de subventions, le GAEC a pu être créé. Le coût de l’installation est évalué à €. Le projet a bénéficié d’une aide de la Région, grâce au Feder Fonds européen de développement régional. Eleveurs de vaches charolaises à Coltainville, ils ont choisi le 100 % circuits courts Sur les 210 hectares de l’exploitation, 195 sont cultivés en céréales et 15 sont réservés dont 5 pour le pâturage et 5 pour la fauche. Ils aménagent une grange non adaptée aux engins agricoles, mais qui convient très bien à l’installation du laboratoire de transformation et au magasin. Une autre partie servira de maison d’hiver, dite la stabulation, pour les vaches. Trois vaches kiwi Aujourd’hui, nous avons 3 vaches de race Kiwi. C’est un croisement de prim’Holstein blanche et noire et Jersiaise marron une race rustique qui s’adapte bien dans nos régions. C’est un petit cheptel qui au fil des mois devrait s’agrandir, mais nous n’irons pas au-delà d’une quinzaine de vaches laitières », rapporte Clara Fadainville, Clara Servian en compagnie d'Origami, l'une des premières vaches de son élevage. La quarantaine de litres de lait produite par jour est transformée en crème, fromage blanc, yaourt sur lit de confiture bio il faut un litre de lait pour 8 yaourts au lait entier brassé ou écrémé non brassé, beurre doux ou demi-sel, crème fraîche. Le tout sans conservateur et sans colorant. Le lait cru entier se conserve 3 jours ou plus en le faisant bouillir. Nous demandons aux clients d’apporter leur bouteille afin de réduire l’emballage. » Produits sains et dynamique locale Déjà, la première vache, répondant au joli nom d’Origami, est inséminée. L’agricultrice est en attente de savoir si elle va avoir un petit. Neuf mois de gestation sont nécessaires et six mois pour élever le veau. J’espère pouvoir proposer du veau à la vente. C’est un lourd investissement, mais on savait où on allait. Sur l’exploitation céréalière, il n’y a pas assez de travail pour deux. Nous vendons nos produits à la ferme, mais également aux petits revendeurs. Nous voulons partager nos valeurs produits sains, moins de transports, dynamiser le territoire, consommer frais, explique le couple. Les visiteurs peuvent rencontrer Origami et ses deux copines ainsi que l’endroit où on les trait. Il y a un vrai retour aux choses simples et naturelles ». y4W4.
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