Alorsque les idées d’Hyperloop, qu’elles soient développées par Virgin (qui a sa propre branche dans ce domaine) ou par Hyperloop One, sont en train de prendre de l’importance, le projet toulousain semble à la traîne. En effet, sur l’ancienne base de Francazal, gracieusement offerte par l’État, Hyperloop TT n’a pas effectué le moindre test avec des passagers au sein de
Hyperloop One se rapproche d'un premier essai public aux Etats-Unis. Basée sur la technologie Hyperloop proposée par Elon Musk, elle permettrait de transporter des passagers dans des capsules circulant dans un tube à basse pression "à une vitesse pouvant atteindre 1 200 km/h". Un concept lancé en 2013 par le milliardaire, qui l'a laissé ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises souhaitant le développer et n'a investi d'argent dans aucune d'entre elles. Parmi les investisseurs d'Hyperloop One, on retrouve notamment la SNCF. Son rival le plus sérieux est la startup californienne Hyperloop Transportation Technologies HTT, qui a installé un centre de recherche à Toulouse avec, ici aussi, une prochaine piste d'essai courant 2017. Hyperloop One "devloop" piste d'essai Voici "DevLoop", une piste d'essai en construction aux Etats-Unis pour le concept Hyperloop de transport révolutionnaire il doit propulser une capsule de passagers dans un tuyau où un quasi-vide est fait, à très basse pression. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai L'idée d'Hyperloop, digne de la science-fiction, a été mise au point par Elon Musk, fondateur de SpaceX et Tesla. Elle permettrait de transporter des personnes à des vitesses théoriques supérieures à 1000km/h. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai Mais Hyperloop One, qui construit cette piste, n'a pas de lien direct avec Elon Musk c'est l'une des sociétés privées et concurrentes qui développent son idée. Le concept du milliardaire a d'ailleurs été amendé depuis son ébauche en 2013. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai La piste d'Hyperloop One, qui mesure actuellement 500 mètres de long, est un assemblage d'énormes tubes mesurant 3,3 mètres de diamètre. Elle est en construction dans le désert du Nevada, non loin de Las Vegas. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai L'installation doit permettre des essais publics "d'ici la mi-2017", selon Hyperloop One. L'entreprise a été ralentie par plusieurs mois de procès avec un ancien co-fondateur, Brogan Bambrogan, en désaccord avec le reste de l'équipe. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai La piste doit atteindre une longueur de deux miles soit 3,2 kilomètres à la fin de sa construction. Après un premier test de propulsion réussi l'année dernière, Hyperloop One a lancé en novembre une étude aux Emirats arabes unis pour relier Dubaï et Abu Dhabi. Soit tout de même 120 kilomètres en seulement 12 minutes. Hyperloop One Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline Leprojet de train Hyperloop permettrait aux passagers, installés dans des capsules Circulant sur coussins d'air, de voyager à 1 200 km/h. a. Quelle distance pourrait parcourir ce train en 15? b. Combien de temps mettrait l'Hyperloop pour réaliser le trajet Paris-Marseille (700 km) 7 Exprime le résultat en heure et minute. Premier test concluant pour le train du futur à très grand vitesse. L'essai s'est passé en fin de semaine dernière dans le Nevada aux États-Unis. La start-up américaine Virgin Hyperloop a annoncé lundi avoir procédé à un test grandeur nature de son train futuriste à très grande vitesse. En effet, pour la première fois, la firme a mis à bord de son train supersonique deux passagers en réalité deux cadres travaillant pour la start-up. Josh Giegel et Sara Luchian sont donc les tout premiers passagers d'un train Hyperloop, un train à sustentation magnétique capable théoriquement d'atteindre les 1200 km/h, une véritable révolution dans le secteur des transports. Dans le cadre de ce premier test, le train a donc embarqué deux passagers. Le test s'est déroulé dimanche dernier sur une piste longue de 500 mètres. Selon un communiqué de la société, les 500 mètres ont été parcourus en l'espace de 15 secondes et l'Hyperloop a atteint la vitesse de 172 km/h. The first hyperloop passenger test Virgin Hyperloop virginhyperloop November 9, 2020L'Hyperloop, c'est quoi ? L'Hyperloop est un concept qui a été présenté en 2013 par Elon Musk, le fondateur de Tesla et de Space X. Ce projet de train futuriste est à ce jour porté par 3 grandes entreprises à travers le monde. Le concept d'Hyperloop est un projet de transport novateur ressemblant à un train capable d'atteindre la vitesse de 1200 km/h grâce à une propulsion sur coussins d'air aimantés dans des tubes sous vide. Two passengers have ridden in a virginhyperloop pod in a test that has made transportation history. Read my thoughts on why Im so excited about Virgin Hyperloop and its potential to change how the world moves around Richard Branson richardbranson November 9, 2020Selon Elon Musk, ce moyen de transport permettrait de relier par exemple les villes de Paris et Marseille en une quarantaine de minutes seulement ! Parmi les sociétés engagées dans ce projet de train supersonique, Hyperloop One qui compte la SNCF dans ses investisseurs semble avoir une longueur d'avance. Hyperloop One a en effet installé une piste de tests aux États-Unis dans le Nevada et travaille actuellement sur deux projets majeurs une ligne devant relier Dubaï à Abu Dhabi en 12 minutes et une autre ligne, en Inde, permettant de relier les villes de Pune et de Bombay. Le tube dans lequel la navette peut être propulsée lors de tests. Parmi les autres entreprises investies dans ce projet de train supersonique, on peut aujourd'hui citer Hyperloop Transportation Technologies, Transpod et Space X. Hyperloop Transportation technologies possède d'ailleurs un bureau de recherche et développement en France, à Toulouse, ce qui lui permet de travailler étroitement avec les équipes d'Airbus. Si Transpod est une société canadienne, elle est dirigée par un Français, Sébastien Gendron, un ancien ingénieur d'Airbus. Cette entreprise est également installée en France et s'est lancée dans la construction d'une piste d'essai près de Limoges. L'Hyperloop, c'est pour bientôt dans la vie de tous les jours ? À ce jour, les projets portés par ces trois entreprises sont encore à l'état de prototypes. Pour l'instant, l'Hyperloop ne fait pas mieux que le fameux TGV français. En 2017, Virgin Hyperloop One a bien propulsé avec réussite son Hyperloop à une vitesse de 387 km/h mais il convient de rappeler que le record de vitesse du TGV est de 574,8 km/h. En raison des nombreuses contraintes, ce mode de transport futuriste ne devrait pas voir le jour avant quelques années. Toutefois, le premier test grandeur nature avec deux passagers à bord a de quoi donner un peu d'espoir à la firme. À terme et contrairement à la capsule test, la capsule définitive devrait être en capacité de transporter 28 passagers.Leprojet de train Hyperloop permettrait aux passagers, installés dans des capsules sur coussin d’air, de voyager à 334 m/s. Combien de temps mettrait l’hyperloop pour réaliser le trajet Paris-Marseille (700 km) ? Exprimer le résultat en heure et en minutes. Total de réponses: 3 Montrez les réponses Une autre question sur Physique/Chimie
Après un an d'incertitudes et de spéculations, le projet de transport révolutionnaire "Hyperloop", inventé par le milliardaire américain Elon Musk a enfin été dévoilé lundi 12 août sur la chaîne de télévision Dans un document de 57 pages intitulé "Hyperloop Alpha", les différentes phases de la mise en place de ce projet à mi-chemin entre le Concorde pour la vitesse et le canon à propulsion électromagnétique pour la technologie utilisée sont minutieusement expliquées. Design de la capsule transportant les passagers, fonctionnement du système à propulsion, aperçu de la structure du tube reliant Los Angeles à San Francisco, tout y passe. Et pour ceux qui viendraient encore à douter du projet, le CV d'Elon Musk, qui n'est autre que le fondateur de la société américaine de transport spatial Space X un des prestataires de la Nasa pour réaliser ce type de voyage, du constructeur automobile Tesla Motors et de la société de distribution de panneaux solaires, Solar city, leur rappel que rien n'est impossible. Un projet de science-fiction Evoqué pour la première fois par Elon Musk en juillet 2012, le projet "Hyperloop" tel qu'il était avancé paraissait complètement fou. De quoi vendre du rêve mais aussi susciter beaucoup d'interrogations devant des auditoires pendus aux lèvres de ce semi-gourou au projet digne d'un film de science-fiction. Mais rien ne freine Elon Musk. Dans cette vidéo, le quadragénaire ne manque pas d'arguments et d'imagination pour vendre son projet. "Ce système que j’ai en tête serait quelque chose qui ne puisse pas s’écraser, qui puisse fonctionner peu importe le temps qu’il fait, et qui soit 3 à 4 fois plus rapide qu’un train à grande vitesse… Vous iriez du centre de Los Angeles au centre de San Francisco en 30 minutes. Ça vous coûterait bien moins cher qu’un billet d’avion", promettait dans Bloomberg en septembre 2012."Je pense que l'on pourrait le rendre auto-suffisant si vous placiez des panneaux solaires dessus". Un an plus tard, le milliardaire américain a franchi le pas. Il y a encore à peine quelques jours il avait presque fait machine arrière en déclarant "Il faut que je me concentre sur Tesla et SpaceX et c'est plus que suffisant. Mais je me suis effectivement engagé à publier un design". Une capsule économe Les croquis figurant dans le document dévoilé par les équipes de Tesla et de Space X réjouiront les amateurs de science-fiction. A mi-chemin entre un vaisseau spatiale et une simple capsule de fer longue de quelques mètres, le design laisse apparaître des formes profilées on ne peut plus futuristes. Mais malgré la géométrie de l'appareil optimisé pour assurer de bonnes performances au système, "le confort" sera "maintenu" pour la vingtaine de passagers qui prendront place dans cet appareil, explique les auteurs du document. Perchés sur des pylônes, les capsules seront propulsées dans des tubes par un champ magnétique généré par une version du moteur électrique utilisé sur la voiture électriques Tesla S et alimentées par l'énergie solaire. Afin d'éviter les frottements à l'intérieur des tube, des "coussins d'air pressurisé" sont prévues. Et les ingénieurs ont même prévu des systèmes permettant d'éviter tout tremblement de terre par un savant système d'articulations souples qui permettent d'éviter que les "tubes ne soient rigidement fixés à aucun point". La capacité annoncée est de 840 passagers par heure ce qui est largement suffisant pour " transporter les 6 millions de passagers qui voyagent entre Los Angeles et San Francisco chaque année", précise aussi le document. Des projets similaires Coût de la réalisation de ce projet pharaonique 6 milliards de dollars. Une somme dérisoire par rapport aux 68 milliards du projet de train à grande vitesse récemment approuvé par les autorités californiennes! Autre surprise, Elon Musk assiure pouvoir rentabiliser un tel investissement en vendant un aller-simple pour seulement 20 dollars. Reste à savoir si ce richissime génie pourra trouver des partenaires financiers. Car pour le moment, d'autres projets similaires à celui d'Elon Musk n'ont jamais vu le jour. Comme celui de la société américaine ET3. Ou encore celui de "Swissmetro", un train à "sustentation magnétique souterrain" sans contact avec les rails capable de relier Bâle à Zurich en 15 minutes et resté en suspens depuis 2009 par manque de moyens financiers. La technologie en tout cas est au point. Elle est utilisée pour assurer la desserte entre la ville de Shanghai et son aéroport depuis 2003. Les 30 km sont parcourus en un peu moins de 8 minutes. Quant aux japonais, ils ont déjà réalisé un record de vitesse en utilisant ce système 581 km/h.Hyperloop, le projet de transport révolutionnaire du patron de Tesla Motors, Elon Musk est en passe de devenir réalité. Des tests vont être réalisés en Californie. Très rapide, écologique, sans bruit, voilà un mode de transport idéal qui pourrait bien devenir réalité d’ici quelques années. Voilà 2 ans qu’Elon Musk avait dévoilé le projet Hyperloop, un train super rapide, capable de voyager à des vitesses atteignant 1300 km/h. En Californie, des tests pourraient être lancés bientôt. Hyperloop le projet fou d’Elon Musk En 2013, Elon Musk, le PDG de Tesla Motors, fondateur de SpaceX et créateur de PayPal présentait son projet de train supersonique capable d’atteindre 1300 km/h. Ce projet un peu fou permettrait théoriquement de relier Los Angeles à San Francisco en une trentaine de minutes ou encore Paris à Marseille en 40 minutes. Ce système permettrait des voyages de jour comme de nuit et indépendamment des conditions météorologiques. En outre, un tel transport ne nécessiterait que peu d’énergie qui serait produite grâce à des panneaux solaires et des éoliennes. Le principe de l’Hyperloop réside dans la possibilité de faire voyager des capsules à l’intérieur de tubes soutenus par des pylônes en réduisant au minimum la pression de l’air dans ces tubes. Chaque capsule pourrait accueillir jusqu’à 30 passagers. Elon Musk décrit son concept dans un document de 57 pages et aujourd’hui une compagnie américaine a été créée pour concrétiser ce projet Les premiers tests en 2016 ? L’entrepreneur Dirk Ahlborn, très intéressé par le projet du milliardaire Musk, a créé une entreprise nommée Hyperloop Transportation Technology HTT afin de réunir du personnel qui souhaite travailler à sa concrétisation. Aujourd’hui l’entreprise compte des collaborateurs dans plusieurs coins du globe. Invité au World Forum for Responsible Economy de Lille, Dirk Ahlborn annonçait que des premiers tests allaient être effectués sous peu “Nous allons commencer en 2016 la construction d’un premier tronçon test à Quay Valley Californie, sur 8 kilomètres. Nous le faisons aux Etats-Unis car nous avons accès au terrain. Mais, à terme, la première ligne Hyperloop pourrait naître partout dans le monde. Nos marchés cibles sont la Chine, l’Inde, l’Indonésie, Singapour, le Moyen-Orient et l’Afrique“, déclarait-il.
Leprojet de train du futur "Hyperloop", fruit de l'imagination fertile du fabricant des Tesla Elon Musk, devrait connaître d'importants développements mardi et La compagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l'une des start-up américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse "Hyperloop", né de l'imagination du milliardaire américain Elon Musk. Ce entrepreneur touche-à-tout, déjà derrière les voitures électriques Tesla et le lanceur de satellites SpaceX, avait lancé en 2013 l'idée de propulser des passagers dans des capsules circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse pression. Le projet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la high-tech. C'est dans l'une d'entre elles, tout juste rebaptisée Hyperloop One ex-Hyperloop Technologies que la SNCF a investi, a confirmé mardi 10 mai cette start-up basée à Los Angeles, à la veille d'une démonstration "à échelle et vitesse réelle" de ce qu'elle a réussi à accomplir jusqu'ici dans le désert à proximité de Las Vegas. Levée de fonds de 80 millions de dollars Elle n'a pas précisé le montant exact du financement apporté par la SNCF, saluée comme "l'une des forces principales derrière le rail à haute vitesse en Europe", indiquant juste qu'il faisait partie d'une levée de fonds de 80 millions de dollars, à laquelle ont également participé 9 autres investisseurs. On retrouve parmi eux beaucoup de fonds de capital-risque, mais aussi GE Ventures, une branche d'investissement du conglomérat industriel américain General Electric. "La réponse impressionnante que nous avons eu confirme déjà ce que nous avons toujours su, que Hyperloop One est à l'avant-garde d'un mouvement pour résoudre l'un des problèmes les plus pressants de la planète", a affirmé mardi Shervin Pishevar, cofondateur et président du conseil d'administration de la start-up, disant voir se rassembler "les esprits les plus brillants" pour "éliminer les distances et les frontières". Aux-delà des liens financiers, Hyperloop One revendique aussi la caution d'une série d'autres spécialistes du secteur du transport, avec l'annonce parallèle mardi de plusieurs "partenariats mondiaux". Ils impliquent notamment les sociétés d'ingénierie française Systra filiale de la SNCF et la RATP et allemande Deutsche Bahn Engineering and Consulting, ou encore le groupe suisse Amberg, présenté comme un expert dans l'infrastructure de transport et les tunnels. "Je pense que cela va changer le comportement humain" et "faire pour le monde physique ce qu'internet a fait pour le monde numérique", a commenté mardi Andrew Liu, vice-président d'un autre de ces nouveaux partenaires, AECOM. "Mon fils ne saura jamais ce qu'est une relation à longue distance, parce que 300 ou 400 miles 480 à 640 kms NDLR représenteront une navette de 20 minutes." Concours mondial Hyperloop One est tellement confiante dans l'avancée de son projet qu'elle a en outre lancé mardi un concours mondial dans lequel on peut lui proposer des endroits où installer son système. La start-up américaine dit déjà participer notamment à une étude de faisabilité privée sur les avantages potentiels de connexions Hyperloop en Finlande et en Suède, et à une autre sur la création éventuelle d'un système de transport de fret en Suisse. L'entreprise avait déjà promis l'an dernier pour 2016 une révolution digne de "Kitty Hawk", le petit village de Caroline du Nord proche de l'endroit où les frères Wright avaient fait voler le premier avion en 1903. Elle disait alors vouloir démarrer cette année des essais sur une voie d'environ un kilomètre avec des vitesses allant jusqu'à 540 kilomètres/heure, avant de construire un prototype grandeur nature un tube de trois kilomètres utilisable jusqu'à environ km/h. Une autre société américaine, Hyperloop Transportation Technologies, n'entend toutefois pas lui laisser la voie libre. Elle a encore vanté en début de cette semaine son propre système breveté basé sur la lévitation magnétique, permettant selon elle "d'éliminer le besoin de relais électriques le long du parcours" et donc de réduire les coûts de construction et les problèmes en cas de coupure de courant. Avec AFP hJzFl.